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Vivescia propose 8 000 diagnostics carbone simplifiés gratuits

« Ce premier état des lieux de l’empreinte carbone de la ferme Vivescia va nous permettre d’accélérer nos réponses face aux enjeux de valorisation des filières bas carbone de nos filiales et de nos clients agroalimentaires », précise Armand Gandon, expert bas carbone chez Vivescia.

Dès avril prochain, les 8 000 adhérents de la coopérative pourront réaliser le diagnostic carbone de leur exploitation en vingt minutes pour réaliser un point zéro.

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Grâce à une méthodologie construite par les équipes agronomiques de Vivescia et la start-up My EasyFarm, la coopérative va proposer à ses 8 000 adhérents de réaliser dès avril prochain un diagnostic carbone simplifié gratuit en ligne, en totale autonomie, en une vingtaine de minutes seulement. Un accompagnement sera cependant possible (appui téléphonique, rendez-vous physique…).

Point zéro des GES et du stockage carbone

« Ce diagnostic ne remplacera pas un diagnostic complet qui dure plusieurs jours, précise Armand Gandon, expert bas carbone chez Vivescia. Mais c’est une vraie première étape qui permettra de réaliser un état des lieux de l’empreinte carbone des exploitations avec un point zéro des émissions de GES et du stockage de carbone dans les sols, et ce sur tout le territoire de la coopérative. Notre objectif est en effet de mobiliser le plus grand nombre. »

Après cet état des lieux, la coopérative mettra en place différents accompagnements (projet label bas carbone, des primes filières…), selon le profil des adhérents qui souhaitent s’inscrire dans des pratiques agricoles bas carbone et une démarche de progrès.

De la pédagogie en amont

Pour obtenir l’adhésion du plus grand nombre au projet, quatre webinaires d’une heure avaient été organisés en octobre dernier afin de balayer tous les points importants (Comment améliorer le bilan carbone d’une exploitation ? Quelles sont les pratiques qui contribuent à stocker ou déstocker du carbone dans les sols ?…).

Et en janvier-février, huit réunions de sensibilisation ont lieu sur le terrain avec des simulations économiques concrètes selon l’activation de tel ou tel levier agronomique pour réduire les émissions de GES ou stocker du carbone.

Chantal Urvoy

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